Garde ce caillou poli. A l’heure de ta mort tu pourras le caresser dans la paume de ta main et mettre ainsi en fuite les ombres de ces lamentables erreurs dont la somme ôte tout sens possible à ta vaine existence.
(La Nieve del Almirante, 1986)
Traduit de l'espagnol par Annie Morvan
Éditions Messinger (L'air d’autan), 1989
Éditions Grasset (Les Cahiers rouges), 1992
Photo: R. B.
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