Qui, déjà, se plaignait l'autre jour de l'omniprésence des mauvaises nouvelles et de la rareté des bonnes? Klaus Schulze, qui n'avait pas choisi sans une arrière-pensée malicieuse, pour une série d'œuvres récentes, un titre collectif en forme de clin d'œil, Dark Side of the Moog, a attendu que la lune soit noire pour décoller vers l'astre. On pensera donc à lui très fort chaque fois que la lune sera noire, ce qui pourrait arriver souvent en cas d'hiver nucléaire. Il est difficile, même en trichant un peu, de ranger ça dans la catégorie des bonnes nouvelles. Mais merci Klaus Schulze, d'avoir pensé à nous laisser pas mal de titres qu'on peut écouter en boucle quand on a un peu de vague à l'âme.
Photo: Smithsonian
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