dimanche 14 mars 2010
Eclatons de rire avec Jean Ferrat
Il y avait deux clans dans la famille
Du temps où j'étais un mouflet:
Tino Rossi faisait pâmer les filles,
Et tous les garçons rigolaient.
Et je me dis qu'aujourd'hui même
C'est peut-être pareil pour moi:
Les unes rêvent en murmurant "Je t'aime",
Les autres ricanent tout bas...
crooning voice:
Tu peux m'ouvrir cent fois les bras
C'est toujours la première fois
Tu peux m'ouvrir cent fois les bras
C'est toujours la première fois
Evidemment, après trente ans passés
A écouter Marinella,
Même en ayant d'la suite dans les idées,
On n'se bat plus comme chien et chat.
On dit plutôt, dans un sourire:
"Il était pas si mal que ça...”
“Depuis le temps que nous entendons pire..."
... En sera-t-il pareil pour moi ?
crooning voice:
Pourtant, que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver?
Oui dans trente ans, du train où vont les choses,
Dieu sait c'qu'il adviendra de moi...
Mais s'il me reste à la bouche une rose
Qui jette encore un peu d'éclat,
Quand de jeunes cons testataires
Mettront leurs grands pieds dans mon plat,
Je leur dirai, Tino, que je suis fier (e)
D'être encore l'idole à Papa...
crooning voice:
Faut-il pleurer, faut-il en rire
Fait-il envie ou bien pitié
Je n'ai pas le cœur à le dire
On ne voit
pas
le temps
passer
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire