À la mi-décembre, le Guardian a publié, pour illustrer un article dans lequel Théo, le fils d'Ursula LeGuin, évoquait le souvenir de sa mère, une photo qui m'a touché, troublé, ému, appelez ça comme vous voulez, vous voyez ce que je veux dire…
Ursula Le Guin sur le port de Marseille en 1953. |
Un peu comme si elle était venue me rendre visite en passant (mais pas à la bonne date: fichues machines à voyager dans le temps qui se dérèglent toujours à mi-parcours!).
Reste son sourire, pour terminer l'année 2018.
5 commentaires:
Merci pour ces voeux de l'autre côté du temps...
Oh, elle est toute jeune.
C'est l'air de Marseille qui fait ça.
Le mistral décape à ce point ?
Entre les douze vents du monde, les quatre vents du désir, et le mistral, je ne te raconte pas à quel point ça rafraîchit.
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