Selon un éminent spécialiste*, la langue mongole possède, pour désigner la condition clinique de celui qui, ayant un temps fait l’expérience - apparemment banale en Mongolie - d’être possédé par un mouton, s’aperçoit un jour qu’il ne l’est plus, un terme spécifique: manque-mouton.
Cela fait à présent plusieurs semaines que je n’ai pas eu de nouvel ouvrage de Murakami à me mettre sous la dent. Je commence, j’en ai bien peur, à présenter les symptômes de l’état de manque-Murakami.
*source: la course au mouton sauvage
2 commentaires:
A lire absolument : la suite : "Danse, danse ! " Magnifique. Lumir
Merci Lumir!
Quand j'ai lu La course au mouton sauvage, je ne savais pas que ce roman avait une suite (et depuis j'ai lu qu'il s'agissait, déjà, d'une sorte de suite à un roman non encore traduit). Je prévois de lire Danse, danse: la Course au mouton m'a laissé une petite faim!
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